Catégorie : BNVCA

Douglas Emhoff mari de Kamala Harris est la nouvelle star juive des démocrates

 Source: site Juifs Célèbres, la contribution du peuple juif à l’humanité

Né en 1963 dans une famille juive de Brooklyn, Douglas Emhoff est un célèbre avocat américain du divertissement. Il est le mari de la sénatrice Kamala Harris , candidat à la vice-présidence de Joe Biden pour 2020. Le couple s’est mariés en 2014 et ont même brisé un verre sous une houppa pour la cérémonie.

D’origine indienne et afro américaine, Kamala Haaris déclare sur son mariage « Conformément à nos héritages indien et juif, j’ai mis une guirlande de fleurs autour du cou de Doug et il a écrasé un verre »

Si Biden est élu, Emhoff deviendrait le premier conjoint juif d’un vice-président des États-Unis .

Les enfants d’Emhoff issu de son premier mariage , Cole et Ella, appellent leur belle mère Kamala « Momala » – un surnom qui ressemble au surnom yiddish « Mameleh », qui signifie petite maman.

Douglas a participé et contribué à de nombreuses causes juives, y compris de son travail bénévole avec Bet Tzedek, qui fournit des services juridiques gratuits aux pauvres.

En 2017, le couple à effectuer un voyage en Israël ou ils se sont rendu notamment au mémorial de la Shoah Yad Vashem.

Le BNVCA: à la campagne aussi.

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, le BNVCA, condamne la propagation de l’antisémitisme qui se manifeste jusque dans des zones rurales. Le BNVCA a été requis par un habitant du Var qui a découvert sur sa porte le tag d’une Etoile de David. Le BNVCA s’étonne que dans un environnement traditionnellement calme, loin de tous centres urbains, une personne soit ainsi identifiée et stigmatisée. La personne a déposé plainte à la gendarmerie proche de son domicile. Le BNVCA constate que, depuis six ans, l’antisémitisme se manifeste au plus près du domicile des personnes, si ce n’est à leur domicile.

Le BNVCA va se constituer aux côtés de cette victime d’antisémitisme pour l’assister et charge son Conseil, Me Baccouche, de déposer plainte à cet effet

Le BNVCA demande aux autorités de tout mettre en œuvre pour identifier ceux qui commettent ce harcèlement afin de les empêcher de continuer de nuire.

Séisme: Tsahal offre son aide à la Turquie (B. Gantz)

( Art. i24 News)

“L’Etat d’Israël apportera toujours une aide humanitaire aux civils blessés, peu importe l’endroit”

Le ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, a indiqué vendredi dans un communiqué qu’il avait demandé à Tsahal de dépêcher une “aide d’urgence” en Turquie, suite au tremblement de terre qui a secoué l’ouest du pays plus tôt dans la journée, et qui a fait au moins douze morts et 400 blessés.

 

 

“L’Etat d’Israël et ses services de défense expriment leur plus profond chagrin face à cette catastrophe, et se tiennent prêts à envoyer immédiatement une délégation afin de venir en aide [à la population turque] et pour y déployer un hôpital de campagne afin de prendre en charge les nombreux blessés”, indique le communiqué.

“L’Etat d’Israël et ses forces de sécurité apporteront toujours une aide humanitaire aux civils qui sont blessés, peu importe l’endroit, en s’appuyant sur l’expérience et les capacités de Tsahal acquises au fil des ans pour faire face aux situations d’urgence”, a déclaré M. Gantz.

Un puissant séisme de magnitude 7 sur l’échelle de Richter a secoué vendredi l’ouest de la Turquie, provoquant l’effondrement de plusieurs immeubles.

“Toutes nos institutions ont commencé à se rendre sur les lieux pour entamer les efforts nécessaires”, a indiqué plus tôt ce vendredi le président Recep Tayyip Erdogan sur Twitter.

La Turquie est située dans une des zones sismiques les plus actives du monde.

( Actualisation au 2 novembre: la Turquie a refusé l’aide israélienne. On dénombre  à ce jour 83 morts et 962 blessés, 743 des blessés sont sortis de l’hôpital.  NDLR)

Assassinat de Samuel Paty : une pétition lancée contre un député radical tunisien

Texte par : Jean-Luc MOUNIER ( Article France24)

 
 
 
Des Tunisiens manifestent contre le retour de jihadistes qui se battent pour des groupes extrémistes à l'étranger, sur l'avenue Habib Bourguiba, à Tunis, en janvier 2017.

Des Tunisiens manifestent contre le retour de jihadistes qui se battent pour des groupes extrémistes à l’étranger. Tunis, janvier 2017, © Zoubeir Souissi REUTERS

Une quarantaine d’intellectuels tunisiens ont lancé, samedi, une pétition pour lever l’immunité parlementaire d’un député afin de le poursuivre en justice. Rached Khiari, du mouvement islamiste Karama, avait justifié le meurtre de Samuel Paty, considérant l’atteinte au prophète de “plus grand des crimes”.

Un texte “contre l’apologie du terrorisme”. Voici l’intitulé de la pétition lancée samedi 24 octobre par des membres de la société civile tunisienne, en réaction aux propos tenus par un député sur Facebook, le lendemain de l’assassinat de l’enseignant français Samuel Paty.

“Vanter les mérites de la décapitation du professeur (d’histoire-géographie) en public, comme châtiment divin, sur les réseaux sociaux, est une forme d’assassinat indirect”, clament les signataires, qui demandent que l’immunité parlementaire de Rached Khiari soit levée afin qu’il soit traduit devant la justice tunisienne.

“Aujourd’hui, il est clair que la lutte doit être contre ceux qui occupent une position quelconque ou importante et qui, par leur discours, peuvent autoriser les actes de terrorisme”, explique l’un des signataires de la pétition, Fethi Benslama, auteur et psychanalyste franco-tunisien, contacté par France 24. “Avec l’assassinat de Samuel Paty, il y a ce que j’appelle des ‘fatwa de fait’ : ce sont des fatwa qui ne disent pas leur nom et où quelqu’un, à un moment donné, va inciter à la violence, parfois par des propos qui ne sont pas directs mais qui ouvrent la possibilité à ce qu’un fanatique galvanisé ou un jeune qui souffre de troubles psychiatriques soit séduit par cette parole de quelqu’un qui occupe une place d’autorité.”

Samuel Paty, professeur d’histoire de 47 ans, a été tué le 16 octobre à la sortie de son collège dans les Yvelines, près de Paris, pour avoir montré à ses élèves des caricatures du prophète Mahomet lors d’un cours d’éducation civique et morale sur la liberté d’expression.

Le lendemain, le député tunisien Rached Khiari – indépendant mais élu sous la bannière du mouvement islamiste Karama, membre de la coalition gouvernementale – avait écrit : “Toute atteinte au prophète Mahomet est le plus grand des crimes. Tous ceux qui le commettent (…) doivent assumer ses retombées”.

“On défend la liberté d’expression”

La police tunisienne a ouvert une enquête préliminaire dans la foulée de ce message mais aucune enquête judiciaire n’a été ouverte pour le moment. “Une brigade spécialisée dans les affaires de terrorisme (est chargée) d’enquêter sur le contenu du message posté”, a indiqué à l’AFP Mohsen Dali, substitut du procureur général au tribunal de première instance de Tunis, le 19 octobre.

Avec cette pétition – qui connaît un démarrage timide après son lancement récent –, les signataires, pour la plupart universitaires ou artistes, demandent que “L’État donne suite à l’enquête décidée par le Parquet et que l’Assemblée autorise la levée de l’immunité” du député concerné.

“Le discours de justification du terrorisme est lui-même une des formes abjectes de terrorisme”, indique aussi la pétition. “Les discours sont porteurs de terrorisme, il y a des propos qui font peur aux gens, qui créent de l’effroi”, précise Fethi Benslama. “On défend la liberté d’expression, et si quelqu’un vient condamner celle-ci, il crée une situation de terrorisme sur ceux qui peuvent ou veulent s’exprimer librement.”

“Nous nous étonnons du silence assourdissant de la majeure partie de la classe politique et des groupes parlementaires sur l’apologie du terrorisme faite par le député en question”, interrogent aussi les signataires de la pétition. Cette dernière ne semblait pas avoir suscité plus de réactions de membres du gouvernement ou de politiques de premier plan au moment de l’écriture de cet article.

La société tunisienne connaît de profonds clivages concernant la religion. La révolution de 2011 dans le pays a consacré la liberté de conscience et de croyance, inscrites dans la Constitution de 2014. Pour Fethi Benslama, cette pétition, outre la condamnation des propos de Rached Khiari, “est aussi un message envoyé à d’autres qui seraient tentés de faire la même chose” que le député tunisien. 

Avec AFP

Le BNVCA à l’audience du 4 novembre 2020 du Tribunal Correctionnel de Paris, contre Vincent Reynouard, qui comparaît pour « contestation de crimes contre l’humanité ».

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, sera présent à l’audience du Tribunal Correctionnel de Paris qui se tiendra le 4 novembre 2020 et sera représenté par notre conseil Maître Charles Baccouche, pour plaider et y être entendu dans l’affaire concernant Vincent Reynouard.

Le 4 novembre 2019, le BNVCA avait déposé plainte contre Vincent Reynouard pour contestation de crimes contre l’humanité figurant dans son nouveau manuscrit intitulé : Pourquoi Hitler était-il antisémite ?

Il écrit « le prétendu génocide des juifs est un mythe ? Aucune extermination systématique n’a été ni ordonnée ni planifiée ni perpétrée…en particulier les prétendues chambres à gaz hitlériennes n’ont jamais existé ».

Coutumier du fait, ce négationniste a déjà été plusieurs fois condamné.

Le BNVCA, par l’intermédiaire de son avocat, Maître Charles Baccouche, demandera la saisie et la destruction de tous les manuscrits mis en cause ; que leur vente soit interdite, et que des arrêtés soient publiés prescrivant le retrait de ces livres de tous les bacs des librairies.

Le BNVCA réclamera une peine très sévère et exemplaire afin d’empêcher Vincent Reynouard de récidiver.

Le BNVCA appelle au Rassemblement demain Dimanche 18 octobre, à 15h Place de la République ” Pour la liberté et contre la terreur, le BNVCA ajoute “contre la terreur islamiste”

Nous sommes sidérés par la décapitation d’un professeur Mr Samuel P… par un islamiste d’origine tchétchène.

 Selon nos informations, l’assaillant, Abdoulhak Anzorov, serait arrivé en France à l’âge de 6 ans avec toute sa famille qui a obtenu le statut de réfugiés.  

Abdoulhak Anzorov, né en 2002, n’était pas fiché S, mais était connu des services de police pour des faits de droit commun. Hier soir, il était porteur d’un couteau, et d’un fusil de type Air soft qui a été retrouvé à ses côtés. Il a posté une vidéo macabre de la tête coupée de sa victime avant d’être abattu. Quand les policiers lui ont demandé de mettre à terre son arme, ce dernier a refusé. « Agressif et menaçant », il a crié « Allah akbar ».

 L’horreur islamiste, la terreur islamiste ont encore frappé la France. Il est temps de prendre de vraies mesures pour éradiquer ce danger qui vient de l’intérieur. Les français attendent des actes forts comme l’annulation, le retrait, la déchéance de la nationalité française et l’expulsion du territoire national. On ne peut combattre les terroristes islamistes au Mali et les héberger en France.

 Le terrorisme islamiste a tué des enfants juifs, des soldats, des hommes, des femmes, des enfants, des religieux chrétiens, des policiers, des journalistes, la liste est longue. 

  Parmi les suspects, figure un militant islamiste très actif, Abdelhakim Sefrioui, qui fait partie des neuf personnes en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur la décapitation du professeur d’histoire dans les Yvelines.

Abdelhakim Sefrioui a été interpellé samedi à Évry avec sa compagne. C’est lui qui avait accompagné début octobre au collège du Bois d’Aulne de Conflans-Saint-Honorine, le père d’une élève pour exiger le renvoi de la victime, qui avait montré des caricatures du prophète Mahomet à ses

élèves, lors d’un cours d’Instruction Civique sur la liberté d’expression. 

Se présentant comme « membre du Conseil des imams de France », Abdelhakim Sefrioui avait diffusé il y a quelques jours sur YouTube une vidéo dans laquelle il dénonçait le professeur.

Le BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) connaît bien cet individu.  Nous rappelons qu’il s’est fait connaître plus particulièrement en 2010, à la tête du collectif Cheikh Yassine (du nom du fondateur du Hamas, tué par l’armée israélienne en 2004), il avait organisé durant des mois des manifestations devant la mosquée de Drancy, où officie Hassen Chalghoumi, l’imam de cette mosquée.

Nous ne voulons pas entendre dans les prochains jours “Pas d’amalgame”. Nous attendons que, enfin et pour la première fois, les organisations musulmanes condamnent sans modération cet acte raciste et liberticide commis par un terroriste islamiste.

Le BNVCA appelle à rejoindre le rassemblement “pour la liberté et contre la terreur” qui doit se tenir, ce dimanche 18 octobre, à 15 heures place de la République.  “Pour la liberté et contre la terreur”, le BNVCA ajoute “CONTRE LA TERREUR ISLAMISTE ».

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

Le BNVCA dénonce et condamne le harcèlement antisémite que subit un administré juif de la ville de Perpignan.

Le Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme, le BNVCA dénonce et condamne le harcèlement antisémite que subit un administré juif de la ville de Perpignan.
Le 28 septembre 2020 Mme S. D… avait déposé plainte contre le ou les auteurs de tags antisémites peints sur la porte de son appartement :« MOR O JUIFS »   et une croix gammée qu’elle s’est empressée d’effacer. La personne a été si profondément choquée à la découverte de ces menaces, qu’elle a perdu connaissance et a dû être prise en charge par le SAMU

Nous demandons aux autorités de police de tout mettre en œuvre pour identifier le ou les auteurs de ces insanités racistes, la victime précisant être le seul habitant juif de l’immeuble. Nous considérons qu’une enquête de voisinage approfondie pourrait confondre les auteurs.

Nous demandons au Préfet de Perpignan de faire assurer la protection de la victime et envisager son déménagement vers une cité plus sereine.

Le BNVCA reste attentif aux solutions proposées et assure la victime de son soutien et de son aide.

 

         

Dieudonné encore condamné à Chartres pour des propos racistes, suite à la plainte déposée par le BNVCA, en 2017.

Le BNVCA (Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme) accueille avec une grande satisfaction le délibéré prononcé le 10 septembre 2020, par le Tribunal de Chartres, contre le sieur MBALA MBALA alias Dieudonné, jugé le 22 juin en correctionnelle pour des propos racistes et antisémites tenus en 2017, dans le cadre de son spectacle, le ”Bal des quenelles” joué à son domicile de Saint Lubin de la Haye (Eure et Loire)

A la demande du président du BNVCA, Maître Baccouche avait, le 21 juin 2017, déposé entre les mains du Procureur de la République de Chartres, une plainte contre Dieudonné qui, le 17 juin, avait réédité le ” Bal des quenelles” de Saint Lubin de la Haye (Eure et Loire). Il était accusé de s’être de nouveau rendu coupable, au cours de ce spectacle, d’apologie du nazisme et d’avoir tenu des propos antisémites caricaturaux comme « le gang des pyjamas de Cracovie ».  

Dieudonné a donc été condamné ce jeudi à 10.000 euros d’amende pour avoir tenu des propos racistes en juin 2017 dans le cadre de son spectacle le ” Bal des quenelles”.

Suivant les réquisitions du Parquet, le Tribunal a estimé que le terme “gang des pyjamas de Cracovie”, en référence à la tenue portée par les déportés juifs à Auschwitz durant la Seconde Guerre Mondiale et employé lors d’un spectacle joué à son domicile d’Eure-et-Loir, était “injurieux à l’égard des juifs victimes de l’Holocauste”.

Le tribunal a également condamné le polémiste à verser 8.000 euros au Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme 

Le BNVCA charge son conseil Maître Baccouche d’agir immédiatement pour faire mettre à exécution les peines prononcées par le Tribunal de Chartres.

Ce jugement, sévère, est très encourageant. Il confirme que le BNVCA a raison de rester persévérant, vigilant, combatif et opiniâtre, toujours prêt à poursuivre tous les antisémites par toutes les voies légales

37 ans après l’attentat de la Rue des Rosiers, une arrestation.

Le Bureau du BNVCA (Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme) apprend avec satisfaction l’arrestation, en Norvège, d’un membre présumé du commando terroriste palestinien suspecté d’avoir participé à l’attentat contre le quartier juif de la rue des Rosiers, à Paris en 1982.

Bien que la police norvégienne n’ait pas encore révélé l’identité de ce terroriste, nous savons que la France demande l’extradition de Walid Abdulrahman Abou Zayed, établi en Norvège depuis 1991.

Ce dossier intéresse au plus haut point le BNVCA dont le Président, Sammy Ghozlan, aujourd’hui Commissaire Honoraire de Police, avait reçu dès le 11 août 1982, du Premier Ministre Mauroy et de son chef de Cabinet, Jean Michel Rosenfeld, une mission exceptionnelle, en marge et à l’appui de l’enquête officielle de la police judiciaire de Paris dirigée par Alain Cances   

C’est Sammy Ghozlan qui avait reçu par téléphone la revendication de l’attentat par Abou Nidal, chef du Groupe palestinien Fatah Conseil Révolutionnaire

Le 9 août 1982, cet attentat palestinien avait causé la mort de six personnes et en avait blessé 22 autres. C’était le deuxième attentat antijuif palestinien, le premier ayant été perpétré contre la synagogue parisienne de la Rue Copernic en 1980.

Les faits se sont produits dans la capitale française. C’est pourquoi le BNVCA demande au Président de la République Française Monsieur Emmanuel Macron de peser de tout son poids politique et diplomatique pour obtenir enfin l’extradition de ce terroriste afin de le faire juger en France, même 37 ans après les faits. 

Les victimes, leurs familles, les citoyens français de confession juive et tous les français soucieux de justice attendent ce procès avec une grande impatience.

 

                       

Les correspondants du BNVCA s’opposent au projet de la ville de Haifa Israël de baptiser une rue du nom de la chanteuse antijuive Oum KALTHOUM .

Le BNVCA tient à exprimer à l’Ambassadrice d’Israël en France l’opinion de nombreux correspondants choqués et scandalisés par l’intention de la Mairie de Haïfa de baptiser une rue au nom de la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum. 

lls sont unanimes à reprocher à  Oum Kalthoum, décédée en 1976, cette chanteuse égyptienne appelée la voix du Caire, l’Etoile de l’Orient qui avait vendu 80 millions de disques dans le monde.

Elle s’était particulièrement distinguée en chantant sur les ondes, en exhortant dans ses chansons les musulmans et arabes du monde entier, à tuer les juifs à “égorger les juifs” (EDBAH ELYHOUD) ou en appelant toujours en chanson, à une “Palestine” au lieu et à la place de l’Etat d’Israël lors de la Guerre des Six Jours en 1967 et celle de 1973 déclenchées contre l’état juif par l’Egypte et ses alliés.

Oum Kalthoum est une antisémite notoire.

Nous sollicitons de l’Ambassadrice d’Israël en France qu’elle demande à son Gouvernement d’intervenir auprès de la Mairie de Haïfa afin qu’elle annule son projet indécent et dangereux, susceptible de justifier l’antisémitisme que subissent encore aujourd’hui les juifs, victimes de ces appels à tuer les juifs « EDBAH ELYOUD » qui continuent de résonner et sont scandés encore aujourd’hui lors de manifestations sur la voie publique à Paris et dans des villes de province et d’Europe, accroissant l’insécurité que ressentent la majorité des citoyens de confession juive de France voire d’Europe.


 Le Président

Sammy GHOZLAN 

Mardi soir 28 01 2020 sur France 2 à 21H05 soirée : Antisémitismes

Résumé 70 ans après la Shoah, les actes antisémites sont de retour sous les feux de l’actualité et dépassent les simples graffitis nauséabonds. L’antisémitisme tue encore et ce film retrace à travers des faits marquants comme l’Affaire Dreyfus ou le meurtre de Mireille Knoll l’an dernier, les mutations de l’antisémitisme mais aussi ses constantes. Il démontre la manière dont les vieilles haines sont instrumentalisées pour en alimenter de nouvelles en France et en Europe bien plus complexes. La recrudescence de l’antisémitisme et les attaques djihadistes contre les « croisés et les juifs» relance également le débat sur les forces sociales qui entretiennent ce mouvement. Comment les traditions et stéréotypes antijuifs médiévaux ont alimenté un mouvement antisémite moderne bien plus complexe et plus meurtrier ? Le documentaire sera etayé par des propos de l’essayiste Delphine Horvilleur, du journaliste Michel Wieviorka et des historiens Philippe Oriol, Denis Chabrot et Grégoire Kauffmann.

https://www.programme-television.org/documentaires/societe/antisemitismes#221968837

Le BNVCA est satisfait de la condamnation prononcée par la Chambre Correctionnelle de Boulogne sur Mer le 18 09 2018 à l’encontre de Guillaume Couvelard.

Guillame Couvelard était poursuivi pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, de la race ou de la religion.

Il avait déclaré entre autre sur les réseaux sociaux : « Donc à la question, les juifs faut-il tous les tuer, la réponse est positive, oui ».

Le BNVCA avait déposé plainte le 31 janvier 2018 à l’encontre de cet individu multirécidiviste. 

Le BNVCA est alerté par de nombreux correspondants, téléspectateurs et internautes, scandalisés par la promotion d’une bande dessinée incitative à la haine d’Israël, intitulée « MOH PALESTINIEN MAIS PRESQUE » que font France 3 et France Info.

Le BNVCA est alerté par de nombreux correspondants, téléspectateurs et internautes, scandalisés par la promotion d’une bande dessinée incitative à la haine d’Israël, intitulée « MOH PALESTINIEN MAIS PRESQUE » que font France 3 et France Info. 

Cet album BD qui prétend relater l’histoire de MOH, un enfant palestinien enfermé dans les prisons israéliennes, reprend tous les vieux poncifs antisémites, et les clichés de la désinformation.

Nous n’avons eu de cesse de démontrer que l’incitation à la haine d’Israël est la source essentielle de l’antisémitisme que subissent depuis 20 ans, depuis l’Intifada engagée contre les citoyens juifs d’Israël, et reproduite contre les citoyens juifs de France à la faveur des campagnes de dénigrement de l’image de l’Etat Juif. Nous déplorons que France Télévisions se rende complice de cette incitation à la haine.

Nous rappelons que déjà en 2000 France 2 a diffusé en boucle un reportage controversé et bidonné sur la mort prétendue de Mohamed Al Dura, accusant sans preuve les tirs de soldats israéliens.

Nous avions déjà mis en cause ce reportage repris par les chaines du bouquet arabe, considérant qu’il a déclenché la première vague d’antisémitisme en France en même temps que la première intifada en Israël.

 Cet antisémitisme d’inspiration islamo palestinienne tue en Israël mais a tué aussi en France, Ilan Halimi, les enfants de l’école juive de Toulouse, dans l’Hyper cacher de Paris, et à leur domicile Sarah Halimi, Mireille Knoll.

Le BNVCA demande au Ministre de l’Intérieur et au Directeur de la DILCRAH d’empêcher une accélération certaine de l’antisémitisme violent, en prenant toutes les mesures préventives et en interdisant la publication et la diffusion de ce brûlot caricatural, extrémiste et discriminatoire, qui fait passer les juifs et les israéliens pour des nazis.

Le scénario ne rapporte pas l’antisémitisme officiel enseigné aux enfants dans les écoles palestiniennes auxquels on apprend l’arithmétique en comptant « UN JUIF TUÉ ET DEUX JUIFS TUÉS = 3 JUIFS MORTS ».

L’histoire ne rapporte pas que les camarades de MOH servent de boucliers humains aux terroristes palestiniens du FATAH du FPLP du HAMAS du Djihad islamique, Il ne narre pas encore, les missiles lancés depuis les minarets des mosquées ou les toits des hôpitaux sur les populations civiles d’Israël. Il ne dit rien sur les faux morts palestiniens qui ressuscitent ou les faux enfants blessés …etc

Il n’y est pas relaté non plus l’assassinat d’un bébé juif israélien poignardé dans son berceau après que ses parents aient été assassinés eux aussi, ni la mort dans les bras de son père d’un autre bébé tué par balle dans la tête tirée par un sniper palestinien, ni la prise d’otage de 3 adolescents et leur assassinat, ni celle d’une jeune fille enlevée, violée et poignardée. Il ne raconte pas les pressions et tortures exercées sur les arabes chrétiens contraints de se convertir ou s’exiler. 

Non un seul regard, le regard pro palestinien, anti israélien anti juif.

Nous rappelons que déjà en 2002, le BNVCA avait fait retirer des bibliothèques des écoles le petit livre illustré « MOMO LE PETIT PALESTINIEN » qui mentait aux enfants.

Le BNVCA lance un appel à des dessinateurs de talent susceptibles de créer une bande dessinée qui racontera la vérité tant sur le palestinien que sur le juif israélien.

Le BNVCA a décidé de saisir le CSA et de réclamer au Ministre de l’Intérieur et au Directeur de la DILCRAH l’interdiction immédiate de cette bande dessinée, le retrait de cet album BD de tous les rayons des librairies et leur destruction administrative.

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

Tags antisémites à Montreuil 93

Le BNVCA condamne le ou les auteurs du graffiti antisémite qui nous a été signalé ce lundi 04 11 2019 au 87 rue de Paris à Montreuil (93) dans le secteur de l’école juive ORT.  

Ce graffiti représente le dessin d’un homme avec un grand nez, un chapeau avec l’inscription « Youpain » sur la figure.     

Nous avons immédiatement saisi la Mairie de Montreuil afin de procéder rapidement à l’effacement de ces inscriptions.

Nous constatons que cette forme d’expression antisémite se développe.

Nous demandons aux services de Police de tout mettre en œuvre pour identifier rapidement les auteurs et les mettre à la disposition de la Justice. 

Le CSA répond au BNVCA à propos de la chronique contestable d’un journaliste de Télématin diffusée le 3/06/19 qui désignait un escroc de “juif tunisien”.

Le BNVCA accueille avec satisfaction la lettre de Mr Roch Olivier Maistre, Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel qui le 10/10/19 répond à notre protestation du 7 juin 2019 concernant une séquence du programme Télématin, diffusée le 3 juin 2019, à 7h18, dans laquelle le journaliste, présentant sa chronique, relate le récit d’une escroquerie en désignant l’auteur des faits comme étant « un juif tunisien ».

Le CSA   donne raison au BNVCA et après avoir examiné le programme lors de sa séance du 2 octobre 2019 a considéré, en l’espèce,” que la formulation utilisée par le journaliste est de nature à nuire aux efforts déployés par France Télévisions pour combattre les discriminations et promouvoir la cohésion sociale.”  C’est pourquoi le CSA a demandé aux responsables de France Télévisions de veiller tout particulièrement à ce que ne soient pas véhiculés de préjugés ou d’amalgames, et leur a rappelé l’exemplarité dont l’entreprise doit faire preuve dans la lutte contre les discriminations”.

Nous espérons que les observations et cette mise en garde formulées tant au journaliste incriminé qu’à la rédaction de Télématin seront exemplaires et dissuasives. 

Le BNVCA reste vigilant et grâce à son observatoire en ligne, veille scrupuleusement à ce que toute dérive médiatique de nature antisémite et discriminatoire soit sanctionnée.

Le Président Sammy Ghozlan

  01 77 38 49 44