Catégorie : Sammy Ghozlan

Le BNVCA dénonce la pétition scandaleuse contre l’Imam Chalghoumi

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme dénonce la pétition scandaleuse lancée contre l’Imam Chalghoumi. Non seulement il est accusé « d’accentuer le fossé qui se creuse entre les différentes Communautés », mais de surcroît il lui est demandé de ne plus « parler au nom des musulmans ». Connaissant depuis de longues années l’Imam Chaghoulmi, Sammy Ghozlan , Président du BNVCA, rappelle que celui-ci ne s’est jamais présenté en tant que porte-parole des musulmans de France. Il est toujours intervenu en son nom propre ainsi qu’au nom des membres de la Conférence des Imams de France qu’il a fondée. S’il a si souvent été invité , n’est-ce pas parce que les médias souhaitaient justement faire entendre une voix qui comble le fossé entre les Communautés et se rallie aux valeurs de la République.

Le BNVCA aimerait savoir si les pétitionnaires signataires, ainsi que celle qui a lancé la pétition, il y a déjà cinq ans, dénommée Leila Bala, ont par ailleurs lancé des pétitions contre les prédicateurs qui incitent à la haine et au mal-vivre ensemble, en stigmatisant tous ceux qui écoutent de la musique, lisent Charlie Hebdo ou portent des jupes toujours trop courtes. En attaquant ainsi un Imam au franc parler et courageux, les pétitionnaires cherchent-ils à dissuader et à faire taire ceux qui voudraient emprunter la voie ainsi ouverte ? Enfin, Mme Leila Bala se disant toulousaine, a-t-elle condamné les attentats commis par Merah à Toulouse, sa ville, contre les soldats ou les enfants de l’école juive Ozar HaTorah. On recherche également les pétitions pour condamner le Collectif Cheikh Yacine qui, après avoir brûlé des drapeaux français et israéliens, avait menacé la famille de l’Imam Chalghoumi la forçant à s’exiler.

Cette pétition, qui  s’inscrit dans le cadre de la liberté d’expression, a cependant pour but de limiter au maximum la liberté d’expression d’un imam qui défend les valeurs de la République. Qui se cache derrière cette pétition ?

Nous attendons des médias qu’ils n’accordent que l’attention méritée par cette pétition honteuse, c’est-à-dire aucune attention.

Le BNVCA est scandalisé par les propos indignes, dangereux et irresponsables tenus par l’ancienne sénatrice, Bariza Khiari, à l’encontre de l’Imam Chalghoumi, Président de la Conférence des Imams de France.

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, le BNVCA, est scandalisé par les propos indignes, dangereux et irresponsables tenus par l’ancienne sénatrice, Bariza Khiari, à l’encontre de l’Imam Chalghoumi, Président de la Conférence des Imams de France.

Ses déclarations sont révélées par le magazine Marianne du 3 ;11 ;2020. Alors qu’une pétition circule contre cet imam, Mme Khiari fait un appel inquiétant aux médias, « pour qu’ils cessent d’inviter Hassen Chalghoumi, qui doit cesser de parler au nom des musulmans » (ce qu’il n’a jamais fait) Bariza Khiari souhaite chasser des plateaux de télévision Hassen Chalghoumi, qui « a le tort de parler vrai au nom du cœur et de la raison » comme le souligne l’article de presse.

En signant la pétition qui circule contre Hassen Chalghoumi « Nous ne voulons pas être représentés par Chalghoumi » et ainsi que l’affirme la journaliste de Marianne, Bariza Khiari exprime manifestement « une jalousie médiatique », elle qui ambitionnait d’être chargée par le Président Macron de structurer l’Islam de France.

En revanche, le BNVCA salue le courage, le franc-parler et la sincérité de l’imam Chalghoumi, Président de la conférence des Imams de France et imam de Drancy. Depuis près de vingt ans, l’imam Chalghoumi est l’ami de Mr Sammy Ghozlan, Président du BNVCA et du CCJ 93, Conseil des Communautés Juives de Seine Saint Denis.

Contrairement à beaucoup d’autres, silencieux, indifférents ou complaisants, Mr Chalghoumi a été le seul imam à condamner l’antisémitisme d’origine arabo-musulmane. Il a été le seul responsable musulman à participer, lui; et les autres imams membres de son organisation, aux manifestations et cérémonies à la mémoire des victimes d’attentats antisémites. Il a été le seul à être présent aux cérémonies organisées à Toulouse, après l’attentat islamo-terroriste commis par Merah en mars 2012. Le 22 juillet 2014, après les violents incidents à Paris et Sarcelles, où retentirent les cris de « Mort aux Juifs », il participe à la synagogue de Sarcelles à une soirée de prières multiconfessionnelles. En 2018, il fut l’un des trois cents signataires aux côtés de Nicolas Sarkozy, du Grand Rabbin de France Haïm Korsia, de Bernard-Henri Lévy et d’Alain Finkielkraut à signer une tribune demandant à ce que des versets du Coran soient frappés de caducité. L’Imam Chalghoumi a été le seul responsable musulman à emmener des jeunes musulmans, filles et garçons, en Israël pour leur faire connaître la réalité de la situation au Proche et au Moyen-Orient. Il n’est pas isolé, il est suivi par de nombreux autres imams dans tout l’Hexagone.

Il a été le premier et le seul imam à demander que les mosquées ne soient plus financées par des états étrangers et que les imams et muftis soient formés uniquement en France.

Tout ceci lui a valu menaces, agressions, insultes, mépris et rejet par ses pairs et coreligionnaires, plutôt attirés par les discours extrémistes, salafistes et islamistes.

Le BNVCA a toujours eu une totale confiance en lui et seulement en lui. Contrairement à ce que prétend Bariza Khiari, Hassan Chalghoumi honore l’Islam.

Mme Briza Khiari, étant membre du bureau exécutif de LAREM, ex vice-présidente du Sénat, présidente de l’Institut des cultures d’Islam, nous demandons au Président de la République, Mr Emmanuel Macron, de la recadrer.

Nous exhortons la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, les animateurs du projet Aladin et Mr Éric de Rothschild, à se désolidariser de Mme Bariza Khiari.

Nous demandons au chef de l’Etat aujourd’hui, plus que jamais, de confier à Mr Hassan Chalghoumi la direction et la structuration de l’Islam de France

Le BNVCA : Vienne, une attaque de grande envergure

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme condamne l’attaque terroriste qui vient de se produire près d’une synagogue et d’un restaurant juif à Vienne, ainsi que, selon nos dernières informations une prise d’otages à l’hôtel Hilton de Vienne et dans un restaurant asiatique. C’est une attaque de grande envergure qui met le centre de Vienne en état de siège. Le BNVCA note que l’Autriche est l’un des premiers pays à avoir apporté son soutien au Président Emmanuel Macron, lors des derniers attentats.  Il y aurait déjà sept morts et peut-être dix victimes de l’attentat-suicide dans le quartier juif. Un nouvel événement est en cours avec prise d’otages à l’hôtel Hilton de la capitale autrichienne ainsi que dans un restaurant asiatique. Un suspect arrêté serait arrivé du Maroc, il y a dix jours.   

Nous demandons aux autorités françaises de faire assurer la protection des églises, des synagogues, des écoles catholiques, de même que les centres communautaires et écoles juives et catholiques. Nous appelons les citoyens et les fidèles de ces deux religions à la plus grande prudence
Le BNVCA redoute de voir se produire sur le territoire national de tels événements et réitère sa demande présentée lors des communiqués concernant l’attaque de la Basilique de Nice, de mise en place de l’état d’urgence en France

Le BNVCA confirme sa demande faite au gouvernement de déclarer l’état d’urgence: trois attentats islamistes en une matinée

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, condamne l’horrible succession d’attentats islamistes qui ont visé la France ce matin. A Nice, trois personnes ont été tuées et décapitées dans la Basilique de Notre-Dame à Nice. En Avignon, un homme qui assaillait des policiers a été abattu. A Djeddah en Arabie Saoudite, un vigile du Consulat de France a été blessé au couteau, le terroriste arrêté. Nous remarquons qu’en cette journée, l’islam célèbre la naissance du prophète Mahomet.

Face à cette véritable déclaration de guerre, l’islamo-fascisme montre son vrai visage. On reconnaît les pires méthodes de l’histoire lorsque des groupuscules fascistes répandaient la terreur par des crimes sauvages de citoyens. Inadaptation aux notions de démocratie et de liberté d’expression, inadaptation au dialogue, les islamo-fascistes et leurs sinistres comparses veulent terroriser en versant le sang des civils, de ceux qu’ils appellent les « mécréants ». Face à cette flambée de violence extrême, le BNVCA confirme sa demande faite au gouvernement de déclarer l’état d’urgence.

Ceux qui veulent terroriser la France, ne nous terroriseront pas. La France a une histoire longue de menaces, de guerres et de résistance. Le BNVCA appelle à une vigilance accrue de chacun et chacune, mais aussi à la confiance renouvelée dans nos forces de l’ordre et à la volonté du gouvernement d’assurer la sécurité des citoyens français.

Nouvelle sauvagerie islamiste: le BNVCA condamne et appelle le gouvernement à décréter l’état d’urgence


Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, le BNVCA, condamne l’agression islamo-terroriste commise ce matin 29 octobre vers 9 h du matin dans la Basilique Notre Dame de Nice, par un homme armé d’un couteau tuant trois personnes qu’il a égorgées et décapitées. Plusieurs blessés sont également à déplorer. Tel est le terrible bilan d’une nouvelle attaque au couteau ciblant la France et ses valeurs, dans la Basilique de Nice. Nice, ville déjà meurtrie par la terreur islamiste.

Guerre de civilisations, de cultures ou de religions, quelle que soit la dénomination, ce que le BNVCA dénonce depuis des années s’affiche désormais au grand jour en France : les ennemis de la France, de la République, de la liberté que nous représentons, nous ont déclaré la guerre. Ceux qui parlaient d’extension du califat ou d’autres termes, prenant en compte la volonté impérialiste de l’islamisme, se faisaient jusque-là taxés de racistes fascisant, sont désormais regardés différemment. Il aura fallu Samuel Paty, il aura fallu des décapitations.  

Quand nous dénoncions les attaques anti-juives et que nous qualifiions les agresseurs et les assassins antisémites d’islamo-fascistes, on ne nous entendait pas.

L’horrible décapitation du professeur aura enfin déclenché la prise de conscience. Il n’est pas trop tard, il ne sera jamais trop tard, mais nous considérons que la vigilance demandée est insuffisante. Le BNVCA appelle le gouvernement à décréter l’état d’urgence pour protéger les français et combattre l’islamo-fascisme.

Il faut désormais préventivement prendre des mesures drastiques et efficaces contre ceux qui en France font la guerre à la France, aux français juifs et chrétiens. Déchéance pure et simple de la nationalité française, expulsions du territoire, cessation de paiement des allocations sociales et autres, dissolution des associations islamistes, salafistes et extrémistes, contrôles systématiques, de jour comme de nuit, des centres d’hébergement et des foyers de travailleurs, etc….

Nous pressentons que ce type d’attentat va se reproduire. C’est pourquoi nous recommandons que tous les lieux, à connotation religieuse, juifs et chrétiens, en particulier écoles juives et catholiques privées, établissements cachères, paroisses, fêtes et cérémonies religieuses, que tous ces lieux soient désormais sous la surveillance de vigiles habilités et armés.  Il faut désormais et sans délai mettre hors d’état de nuire tous ceux qui soutiennent ces courants ennemis de la France et des français, y compris ceux qui, volontairement ou non, par des paroles irresponsables attisent le feu de la haine. 

Aux victimes, aux familles des victimes, à la ville de Nice, à notre beau pays la France encore une fois touchée au cœur, nous souhaitons à tous le courage nécessaire pour endurer et combattre. 

Le BNVCA s’élève contre les propos indignes d’une élue de la République

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, le BNVCA,  s’élève avec force contre les propos indignes de Mme la députée Obono. Non seulement elle porte outrage aux plus hautes instances de la République en détournant leurs noms et leurs fonctions, mais elle ose accuser le Ministre de     l’Intérieur  de « déclarer la guerre civile ». Le meurtre d’un professeur, sa décapitation, ne serait donc qu’un fait divers ? La découverte de véritables arsenaux de guerre et leur utilisation de plus en plus fréquente, notamment contre les policiers et les commissariats, ne seraient que des jeux virtuels portés à la réalité par des personnes désœuvrées et en proie à l’ennui ?

Non Mme Obono, ce sont des actes de guerre et les Français attendent une réponse forte de l’Etat pour que règne dans les rues de nos villes non pas le climat terrible de villes en proie à la guerre civile, comme en Syrie, mais que revienne la sécurité, le premier droit des citoyens français. En défendant les décapiteurs, les tueurs et tous ceux qui s’emploient à transformer la vie quotidienne des Français, en un enfer, Mme Obono a choisi son camp. Elle bafoue sa mission, en devenant le porte-parole du pire et, du haut de son titre, fournit un exemple dévastateur en particulier pour la jeunesse. 

Le BNVCA demande au Président de l’Assemblée Nationale, M. Richard Ferrand de prendre des mesures contre cette dangereuse déviance. L’Assemblée Nationale ne peut devenir un territoire perdu de la République. Ne refaisons pas l’erreur de l’attentisme et de la minimisation des faits : il faut agir dès le premier signe de radicalisation L’Assemblée ne peut tolérer de tels débordements qui attisent un climat délétère. La France fait non seulement face à la pandémie mais à un virus plus grave : la haine entretenue par les ennemis de la République. La France, pays des Droits de l’Homme, a le devoir de faire respecter le premier droit des citoyens, le droit à la sécurité. Si Mme Obono ne partage plus cette vision, sa place n’est plus dans les rangs des Représentants de la République.

Manuel Valls : «Par ses insultes envers la France, Erdogan se fait le chantre de l’islamisme radical»

TRIBUNE – S’agissant du Moyen-Orient, la France doit adapter sa politique étrangère aux réalités nouvelles que chacun peut observer, argumente l’ancien premier ministre.

Par Manuel Valls Publié par Figaro Vox le 26 octobre

(Photo Manuel Valls, source TJ,   Photo Jérusalem, source Israel21c )
 
Depuis plus de trente ans, le Moyen-Orient traverse des crises, des chocs et des ruptures. L’effondrement du bloc soviétique a consacré les États-Unis comme seule hyperpuissance ; les attentats du 11 septembre 2001 et l’avènement du terrorisme islamiste globalisé, avec al-Qaida et l’État islamique, ont bouleversé l’islam, les équilibres du monde et de la région. Les printemps arabes, avec leurs espoirs et leurs échecs, ont souligné la friction permanente entre aspirations démocratiques parfois fragiles et crispations autoritaires, identitaires, extrémistes.
 
Les lignes de front se multiplient et le conflit israélo-palestinien apparaît donc, malgré la guerre larvée entre Israël et le Hamas à Gaza, comme un contentieux local, de basse intensité. À l’évidence, les anciens empires, perse, ottoman, russe, cherchent à retrouver leurs rôles dans la région. Malgré un désengagement progressif, débuté sous la présidence de Barack Obama, les États-Unis continuent, à travers leurs relations privilégiées avec Israël et l’Arabie Saoudite, à peser. On le voit avec le plan Trump-Kushner qui a incontestablement fait bouger les lignes. L’Europe reste en grande partie absente car elle n’est pas une puissance militaire, elle est divisée et sans vision dans cette partie du monde. Elle est également soumise au chantage des réfugiés de la part de la Turquie. 
 
Et la France, engagée courageusement dans la région contre l’État Islamique comme au Sahel, jouant de tout son poids politique au Liban pour aider le pays à sortir de la crise, démontrant la plus grande fermeté face à la Turquie, ne s’est pourtant pas défaite, sur la question israélo-palestinienne, d’une tradition diplomatique obsolète. Il est urgent d’en sortir. La formule visant « la création d’un État palestinien dans les frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale des deux États » est caduque. C’est une langue morte. Les accords d’Oslo et leurs conséquences, l’évolution des rapports de force, la nouvelle donne géopolitique rendent tout retour en arrière impossible. Par crainte d’une rupture avec le monde arabe et les Palestiniens, paralysée par les passions qu’agite ce conflit jusque dans notre pays, la diplomatie française s’est figée. Nous avons pourtant les atouts — la culture, l’histoire, la connaissance de la région, une relation de confiance établie avec les Palestiniens — pour proposer. Car la paix ne tient pas au succès d’un numéro d’équilibrisme, ce n’est pas non plus un arbitrage moral mais l’entrée consentie dans un nouveau paradigme. 
 
Jérusalem capitale d’Israël:
 
C’est pourquoi je crois que la France doit désormais reconnaître que Jérusalem est bien la capitale d’Israël. Depuis la déclaration de David Ben Gourion à la Knesset en 1949 jusqu’aux reconnaissances internationales aujourd’hui, ce mouvement est irréversible. La protection des lieux saints des trois grandes religions monothéistes doit bien entendu être garantie. Nous devons encourager la création d’un État palestinien. C’est aussi dans l’intérêt d’Israël et indispensable pour bâtir une paix durable. Mais encore faut-il dénoncer l’absence de processus démocratique et la corruption qui gangrènent l’Autorité palestinienne, mettre un terme à l’illusion du retour des réfugiés, exiger des dirigeants palestiniens la condamnation du terrorisme et de l’incitation à la haine, et leur conseiller de négocier avec les Israéliens sur de nouvelles bases territoriales. La diplomatie exige, aussi, du parler vrai. 
 
Après la paix signée avec l’Égypte en 1979 et la Jordanie en 1994, une normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes est en cours : les Émirats arabes unis et Bahreïn il y a quelques semaines, le Soudan hier et d’autres qui suivront demain. C’est l’aboutissement du rapprochement avec Israël face à la menace iranienne. C’est, surtout, la réaction aux mutations économiques et la nécessité pour ces pays de penser l’ère post-pétrole en développant des coopérations avec Israël, « start-up nation », partenaire d’innovation incontournable. C’était le rêve de Shimon Pérès : bâtir la paix autour du savoir et de la recherche. La France, forte d’une alliance stratégique, de sécurité et de défense avec les Émirats arabes unis, doit accompagner ce mouvement car il l’engage. Il est porteur d’espoir pour la région et pour nous-mêmes : des sociétés que l’on croyait pieds et poings liés à une tradition archaïque multiplient les signes d’ouverture et s’autorisent le dialogue avec d’autres identités, d’autres valeurs. Ne soyons pas naïfs, cela mettra du temps mais c’est une bonne nouvelle.
 
Oui, enfin, de l’évolution des rapports de force au Moyen-Orient dépend aussi notre avenir. Nous le voyons à nos portes, en Méditerranée et en Libye, face aux agissements de la Turquie – étrange partenaire de l’OTAN – et de son président. Par son refus de condamner sans ambiguïté l’attentat terroriste de Conflans , par ses insultes à l’égard de la France, le président Erdogan, nouvelle référence des Frères musulmans, se fait aujourd’hui le chantre de l’islamisme le plus radical. Nous le voyons ailleurs dans la région. Nous le savons, car nous devons être lucides, l’Arabie Saoudite, sponsor international de l’islam radical issu du wahhabisme, ou encore le Qatar, plateforme de flux financiers en direction de groupes terroristes, promoteur des Frères musulmans dont de nombreux imams en France se réclament, ont pesé lourd sur ce qui s’est passé au cours des dernières décennies. Les États où se multiplient aujourd’hui les appels au boycott de produits français en réaction à la promesse du président de « ne pas renoncer aux caricatures » délimitent très clairement le camp de ceux qui au Moyen-Orient mènent ou soutiennent le combat contre nos valeurs. L’islamisme est une menace globale et stratégique qui affecte nos relations internationales et impacte directement notre modèle républicain. Ce qui nous menace, ce contre quoi nous luttons, le terrorisme islamiste, n’a pas de frontières. Échappons à cet inconscient sans doute hérité de la colonisation qui nous conduit parfois au relativisme. Il nous faut de l’audace et de la clarté. Nous devons parler le même langage ici et là-bas. À Beyrouth, les Libanaises et les Libanais l’ont clamé dans la rue en prenant tous les risques. Sur la scène politique comme sur le terrain militaire, le Hezbollah, littéralement le « parti de Dieu », porteur d’une idéologie mortifère, antisémite, utilise la terreur comme seule arme. La France et l’Union européenne doivent désigner cet acteur pour ce qu’il est : une organisation terroriste.
 
Passons d’une diplomatie traditionnelle à une diplomatie de résolutions, à l’avant-poste de la réalité politique et des évolutions géopolitiques. Il ne s’agit pas d’imposer un modèle mais de défendre le nôtre, nos valeurs, nos intérêts, avec force. Il s’agit aussi de renforcer nos alliances. Trop souvent réduite au seul poids que la Shoah a laissé sur la conscience européenne, notre relation avec Israël doit s’affirmer sur tous les champs car elle est bien plus profonde. Elle tient au partage de valeurs et d’une vision commune du monde, du progrès, de la modernité, de l’humain. C’est une alliance stratégique qui ne se suffira pas de beaux discours : il faut la traduire en actes.
 
Le monde a changé. Le Moyen-Orient a changé. L’action de la France dans la région doit impérativement, elle aussi, faire sa mue. Nos destins sont liés. La France doit oser !

Le BNVCA condamne avec vigueur les appels au meurtre contre le Président de la République, Emmanuel Macron, les menaces portées contre les autorités de l’Etat, les incitations à la haine et l’appel lancé à  boycott des produits français. 

Le BNVCA condamne avec vigueur les appels au meurtre contre le Président de la République, Emmanuel Macron, les menaces portées contre les autorités de l’Etat, les incitations à la haine et l’appel lancé à  boycott des produits français. 

L’appel au boycott étant un délit prévu et réprimé par nos lois, le Bureau national de Vigilance contre l’Antisémitisme, BNVCA, a chargé son conseil, Maitre Charles Baccouche, de déposer plainte contre l’auteur de ces posts, débusqué par le groupe B T A.

Alors que la France prend conscience de l’ampleur des efforts nécessaires pour combattre ceux qui par leurs discours de haine arment les bras des tueurs, l’auteur de ces posts se disant  Patrick Laine diffuse sur le réseau VK des appels à la mort du Président Macron.      Le BNVCA avait déjà poursuivi en justice cet individu qui a été condamné en mai 2018  par le Tribunal correctionnel de Nantes à la peine de 18 mois d’emprisonnement pour de multiples infractions commises par la voie des réseaux sociaux, constitutives d’injures, diffamations, apologie de crimes contre l’humanité, provocations à la haine et à la discrimination, provocations à la commission d’atteinte volontaire à la vie, contestations de crimes contre l’humanité, toutes aggravées par la circonstance de racisme et/ou antisémitisme.  De toute évidence, il récidive.

Aussi, le BNVCA dépose plainte à nouveau contre Laine, du chef d’outrage au chef de l’Etat et d’appel au meurtre du Président de la République. Le BNVCA demande que les autorités de police et du justice prennent sans délai des mesures de nature à neutraliser cet individu qui incite à la haine et au meurtre de notre président.

Le BNVCA ne désespère pas

Texte publié par Sammy Ghozlan, Président du BNVCA et Evelyne Gougenheim, Secrétaire général

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme refuse de désespérer mais appelle au suivi par des actes forts les paroles entendues. Depuis les multiples débats sur le voile, puis sur le burkini, aux prières de rues sans parler des imams aux prêches virulents dans des mosquées qui mélangent politique et religion, nous avons, depuis plusieurs décennies, assisté à un étalage de nos faiblesses au nom de la démocratie. Puis il y eut les mises à mort, les unes plus terribles que les autres d’Ilan Halimi au Père Hamel  mais avec un fond sonore de plus en plus présent : islamophobie. Mais, comme le rappelait l’un des manifestants place de la République, les islamistes ont causé 263 morts, l’islamophobie 0.

De lâches petits renoncements

Depuis toutes ces années, le BNVCA se bat, dénonce, attaque en justice pour constater là aussi de grandes faiblesses. Les plaintes classées sans suite ont permis de faire  comprendre que le pire est possible, qu’au nom d’une démocratie qui craignait de heurter certaines sensibilités, la voie était libre. 263 français tués, mis à mort, décapités, défenestrés, démembrés et l’appel à l’apaisement se faisait encore entendre. L’absence de procès pour Sarah Halimi, ce qui serait une catastrophe, serait une réelle victoire pour tous les activistes de la haine.

En novembre dernier le CCIF, qui dit défendre les musulmans, faisait retentir Allah oukbar dans les rues de Paris, à quelques mètres du Bataclan. Au milieu de cette foule, se trouvaient des élus en écharpe tricolore. L’engagement sans discernement  d’élus palestinistes ou islamo-gauchistes a brouillé les lignes et rendu illisible la mission de nos élus. Ils ont trop souvent choisi d’être soumis à des impératifs en contradiction patente si ce n’est hostile envers la France, ses valeurs, son éducation, son art de vivre, son histoire et sa culture. En temps de guerre, c’est une trahison et les traîtres ne peuvent qu’être démis de leurs fonctions, un minimum. Pendant qu’eux ne sont pas inquiétés, d’autres font l’objet d’appels au meurtre avec transmission en public d’informations privées, véritables fatwas sur les réseaux sociaux. Parce qu’ils ou elles, comme Zineb El Rhazoui, osent dénoncer l’islamisme radical et ses dérives.

Il est grand temps de replacer l’église au milieu du village, selon cette jolie expression bien française.

Les réseaux sociaux ne peuvent rester les pourvoyeurs impunis de toutes les variétés de haine : anti-blancs, anti-France, anti-keufs, anti feujs (juifs et Israël). Le BNVCA continue à lutter et à assigner en justice  ceux qui la propagent, en espérant que les nouveaux outils de dissuasion et de répression qui sont annoncés suite à l’appel au meurtre contre Samuel Paty, permettront, désormais, d’agir  plus rapidement et plus efficacement. Ce fastidieux travail de dépistage systématique ne peut plus se heurter aux fins de non-recevoir de la justice : on ne peut plus examiner avec un œil naïf, ceux qui arment des bras qui tuent

Quant à l’Education Nationale, à tous les niveaux, professeurs principaux et proviseurs jusqu’aux rectorats, leur souci de « ne pas faire de vague » a permis de voir proliférer insultes et menaces, sans conséquences, si ce n’est, en règle générale, l’exclusion de …la victime. Rappelons pour mémoire que les élèves juifs ont du fait de cette situation, pour beaucoup, déserté l’école publique. Les élèves mais aussi, déjà, des professeurs. Une professeur de mathématiques, Mme Cohen avait subi des menaces et un véritable harcèlement en 2001 avec notamment des caricatures d’elle où on la voyait pendue par Al Qaïda. Elle finit, pour sa protection, à être mutée. Il n’y eut ni poursuites, ni sanction contre ceux qui la persécutaient. Même dès la primaire, l’école a  été prise en otage par la violence et le BNVCA n’a que trop souvent entendu dire : «  nous ne pouvons pas garantir la sécurité de certains élèves ».

Prise de conscience et menaces

Aujourd’hui la mort terrible de Samuel Paty semble avoir mené à la prise de conscience tant attendue. Expulsions, fermetures de mosquées, poursuite de ceux qui, sur les réseaux sociaux, crient leur haine : enfin des décisions sont prises.

Déjà, des voix se lèvent pour dénoncer les mesures prises par la France pour défendre ses concitoyens dans leur droit à vivre en sécurité. La Turquie, le Hamas ainsi que des Etats arabes et musulmans dont, faut-il le rappeler, chaque jour notre pays et les pays europééns accueillent des « réfugiés » ont lancé des appels au boycott ainsi que des imprécations diverses et vociférantes : la panoplie est complète pour fomenter la haine. Envers qui les nouveaux immigrés, entendant de telles déclarations, seront-ils loyaux ? Nous sommes face à un dispositif semblable à celui qu’a subi et subit toujours Israël, notamment par les actions de BDS. L’appel au boycott est un délit prévu et réprimé par la loi. Comme il l’a fait pour Israël, le BNVCA poursuivra en justice les internautes qui appelleront au boycott de la France et de ses produits

Est-il tard, trop tard ?

Il n’est jamais trop tard pour se lever et résister à un ennemi déclaré. Le BNVCA plus que jamais se doit de défendre les valeurs de la France, terre d’accueil pour ceux qui veulent s’y intégrer : en adoptant sa langue, sa culture et en respectant ses lois. Ce que firent les portugais, les italiens, les espagnols, les juifs et tant d’autres. Les juifs, toujours les premiers menacés, remplissent le rôle qui leur a été historiquement dévolu : le rôle de canari, celui qui détecte les émanations toxiques. Le BNVCA en est l’un des plus vigilants porte-paroles et à ce titre lance un cri d’alerte. Ne laissons pas la mort de Samuel Paty n’être qu’un chiffre de plus parmi tous les morts : il a pleinement assumé sa fonction de professeur des valeurs phares de la République : respect, liberté d’expression, courage. Soyons à la hauteur de ce qu’il représentait, de ce qu’il représente et représentera toujours : un homme qui se tient debout pour défendre sa culture et son identité. L’enjeu est majeur, ne baissons pas la tête, il est temps d’affronter nos démons qui portent un nom : terrorisme islamiste. Donnons-nous les moyens, dans le cadre démocratique et républicain, de faire taire ceux qui n’aiment que la France apeurée et soumise. Du haut de notre histoire partagée, tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour défendre notre drapeau nous y encouragent : la France mérite qu’on la protège et qu’on la défende. Maintenant.

 

 

Le BNVCA, depuis de nombreuses années, signale, désigne et dénonce le danger islamiste.

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, reste choqué par la décapitation du professeur Mr Samuel Paty,  par un terroriste islamiste d’origine tchéchène et ayant récemment été régularisé par les autorités françaises.

Nous découvrons avec surprise que le sieur Abdelhakim Sefrioui pourrait être l’instigateur principal de cet attentat

Ce qui nous surprend, nous révolte et nous inquiète, c’est que nous avions signalé à plusieurs reprises la dangerosité de ce dirigeant islamiste. A plusieurs reprises nous avions demandé la dissolution de son association et l’interdiction de son site collectif Cheikh Yacine manifestement islamiste, antisioniste et antisémite.

Le BNVCA avait œuvré avec le Préfet de Seine Saint Denis et le Député Jean Christophe Lagarde de Drancy, pour empêcher le chef de ce collectif subversif de manifester contre l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, dont il avait même tenté d’occuper la mosquée. 

Nous joignons à la suite de ce communiqué, notre communiqué daté du 27 décembre 2012, dans lequel nous réclamions en vain au Préfet de Police de Paris, l’interdiction d’une manifestation à risque, et la dissolution du collectif mis en cause.

Le BNVCA avait aussi débusqué d’autres sites islamistes signalés, pour lesquels également les alertes et signalements sont restés sans effet.

Nous rappelons quelques-uns de ces signalements

  • Mohamed Latreche président du Parti des Musulmans de France, Plainte déposée par le BNVCA comprenant 50 chefs d’inculpations. Il fut relaxé à l’audience du TGI de Strasbourg le 14 septembre 2011
  • Le site de Ahmed Rami, ancien officier marocain, dont le site se caractérise par : islamiste antisioniste et antisémite
  • Le site de Ahamlane chef du Groupe Islamiste de Nantes contre lequel nous avions déposé plainte le 17/7/2010. Ce groupe islamiste Forsane Alizza, également baptisé « Les Cavaliers de la fierté », est un groupuscule radical islamiste, créé en août 2010 à Nantes, en France, par Mohamed Achamlane et dissout le 1ᵉʳ mars. Toutefois en 2020 il aurait cherché à se procurer des armes.

Nous considérons qu’il est grand temps que l’Etat prenne des dispositions drastiques, urgentes et efficaces de nature à éloigner le danger et à épargner nos concitoyens du danger islamiste.

Les valeurs de la France, de la République, de la laïcité doivent s’imposer. Tous les ressortissants français doivent respecter et faire respecter nos valeurs avant celle d’une quelconque religion

Nous attendons des organisations musulmanes de France qu’elles s’emploient à engager des démarches auprès de leurs fidèles, qu’elles dénoncent et excluent tout individu ou tout groupe d’individus, extrémiste et islamiste de leur sphère.

Annexes

Communiqué BNVCA de 2012:

https://www.bnvca.org/2012/12/le-bnvca-demande-au-prefet-de-police-de-paris-dinterdire-le-rassemblement-du-collectif-cheik-yassin/

Article et photos, suite à l’interdiction de manifester

https://french.alahednews.com.lb/8332/280

   

Toute notre sympathie

COMMUNIQUE

Le Président et toute l’équipe du BNVCA expriment leur solidarité et leur soutien à leur Vice-Président, Guy ATTAL, suite au décès de son beau-frère Eric ASSOUS. Personnalité du monde de la culture, réalisateur, scénariste et dialoguiste, Eric Assous était né à Tunis le 30 mars 1956. Nous assurons son épouse et ses enfants de toute notre sympathie.

Le BNVCA dépose plainte contre le rappeur antisémite révisionniste Issa Lorenzo Diakhaté alias Freeze Corleone et la Société” de production UNIVERSAL.

Le BNVCA réclame la saisie des albums et leur destruction ainsi que la déchéance de la nationalité française de Freeze Corleone

Le Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme, (BNVCA) condamne avec force et colère le dernier avatar musical antisémite négationniste et révisionniste de Freeze Corléone 

Le rappeur des Lilas (93) est inconnu du grand public mais son album sorti le 11 septembre s’est déjà vendu à plus de 15 000 exemplaires. Cela montre l’appétence de ses fans pour ses idées complotistes et anti-juives .

Pour Freeze Corleone, complotisme et antisémitisme sont devenus des produits de vente populistes. Nous notons que la date de sortie de son album le 11 septembre n’a pas été choisie au hasard : elle correspond à l’anniversaire des attentats terroristes islamistes contre les Twin Towers et autres sites aux USA. 

 

Cet individu de son vrai nom Issa Lorenzo Diakhaté est né le 6 juin 1992 aux Lilas de parents sénégalais. Il s’inspire de Dieudonné et, sous couvert, d’une concurrence victimaire, il exprime un antisionisme virulent.

Le rappeur soutient qu’il n’en a rien à foutre (RAF) de la Shoah ni des camps de concentration et fait des comparaisons / amalgames au massacre des Amérindiens et à l’esclavage.  Il est fasciné par Hitler et Goebbels.  Il cite allègrement des personnalités juives   telles que Bernard-Henri Lévy ou David Ben Gourion, toutes accusées des pires maux de la Terre.

Freeze Corleone s’assimile à la figure du Mollah Omar, ancien chef des Talibans et idéologue moderne de l’antisémitisme : “Seigneur de guerre comme le Molah Omar” s’enorgueillit-il dans S.O. Pour lui ”trop de “Cohen”, trop de Juifs dans le rap, trop de Juifs dans la finance, trop de Juifs dans la politique, trop de Juifs dans les complots, trop de Juifs dans les manuels scolaires. Et face à eux, le courage et la bravoure du IIIe Reich et de son mysticisme héroïque. 

La plupart des citations antisémites et négationnistes ont été révélées et analysées par le journaliste Paul Didier du journal Marianne

Nous saluons la réaction immédiate du Ministre de l’Intérieur Mr Gérald Darmanin et des députés qui réclament des sanctions contre le rappeur “antisémite et pronazi”

Nous saluons de même le Parquet de Paris qui d’initiative ouvre une enquête portant sur différents clips vidéo de Freeze Corleone du chef de provocation à la haine raciale et injure raciste

Trop c’est trop.

Des mesures immédiates, administratives et pénales doivent être prises contre ce rappeur et ses complices Nous réclamons la saisie immédiate des albums antijuifs, et leur destruction. Nous demandons l’interdiction de vente de ces albums

Nous demandons aux sites web hébergeurs de vidéos (Wix Video, YouTube, Vimeo, WistiaVideo, Cloud by Brightcove, Sprout Vidéo, Trackmusik, Dailymotion) de rejeter sans délai les clips et les albums de Freeze Corleone  

Parmi ses complices, le BNVCA inclut la maison qui produit et commercialise son album puant.

Le BNVCA demande au Préfet de Bobigny, département de naissance de Lorenzo Diakhaté alias Freeze Corleon, d’engager une procédure de déchéance de la nationalité française 

Nous formulons également cette requête auprès du Ministre de l’Intérieur Mr Gérald Darmanin.

Le BNVCA charge son conseil habituel Maître Baccouche de déposer plainte contre Lorenzo Diakhaté alias Freeze Corleone pour “antisémitisme, révisionnisme, complotisme, négationnisme”. La même plainte sera déposée contre Universal Music.

 

Hommage à M. René AMAR, par le CCJ 93

J’apprends avec beaucoup de tristesse la disparition de mon ami René Amar, ancien Président de la Communauté de Blanc Mesnil.

René Amar ancien policier a consacré son temps et son énergie au développement de la communauté juive de Blanc Mesnil.

Il n’a ménagé ni son temps ni sa peine, et avant l’exode il l’avait dirigé brillamment des familles pour des zones plus sereines.

Le Président du CCJ 93, tous les membres de la  communauté adressent à ses enfants et petits-enfants toutes nos sincères condoléances et les assurons de notre sincère sympathie.


Sammy Ghozlan

Président CCJ 93

Un crime impuni, une communauté juive outragée

C’est une véritable onde de choc qui s’est répandue dans la communauté et sur les réseaux sociaux à l’annonce du délibéré de la cour d’appel de Paris du 19 décembre. Haguesher a réuni les principales réactions de colère et de stupéfaction :

Pour Joël Mergui, président du Consistoire : « Cette décision ne place pas les Juifs à égalité avec les autres citoyens. Elle laisse à penser que l’emprise d’une substance illicite accorde le permis de tuer des juifs en toute impunité (…) C’est bien là toute la monstruosité d’une décision qui me révolte et heurte la raison autant que la morale. Après le déni de réalité, nous voici confrontés au déni de justice (…) Entendons nous bien ce n’est pas un fou ni un vrai malade mental qui a martyrisé et sauvagement tué Sarah Halimi, zal, mais un drogué au cannabis et à la haine antisémite » conclu Joël Mergui dans un communiqué. Même stupéfaction chez le président du CRIF, Francis Kalifat qui souligne aussitôt sa consternation et son indignation : « Le CRIF exprime son soutien et sa solidarité à la famille de Sarah Halimi empêchée de faire son deuil par cette décision. Le crime antisémite serait-il le seul délit excusé par la justice du fait de prise massive de stupéfiants alors que dans tous les autres cas c’est une cause aggravante ? »

Le député Meyer Habib (UDI) n’a pas mâché ses mots : « Aujourd’hui j’ai honte et je suis triste. J’ai l’impression que pardelà des grands discours, la France a démissionné face à l’antisémitisme. L’Etat refuse d’instruire le procès de l’antisémitisme arabo-musulman qui sévit dans les «quartiers» sur fond de haine d’Israël, d’islamisme et de théories du complot. C’est cet antisémitisme qui tue en France aujourd’hui… De plus en plus de Juifs estiment qu’ils n’ont plus d’avenir en France. Cette décision pourrait leur donner raison. » « La décision de la justice de déclarer pénalement irresponsable Kobili Traoré marque l’avènement du règne de l’impunité face à l’antisémitisme meurtrier en France » a dénoncé immédiatement l’UEJF dans un communiqué. De son côté, Sammy Ghozlan, directeur du bureau national de vigilance contre l’antisémitisme BNCVA, ne décolère pas : « Nous ressentons cet arrêt comme un véritable outrage à toute la communauté juive. Il suscite beaucoup d’inquiétude car il signifie que désormais il suffira, à quiconque qui veut assassiner un juif sans crainte d’être sanctionné, n’aura qu’à se droguer. Je persiste à penser que ce crimi
nel aurait dû être condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Or cet arrêt de la cour d’appel va rester comme une tache indélébile dans l’histoire de l’antisémitisme qui frappe depuis 20 ans en France et qui a tué. La confiance des juifs de France envers la justice reste très entamée aujourd’hui. »

Quant aux avocats de la famille, ils ont décidé de se pourvoir en cassation. Selon Maître Spizner, « il s’agit d’un arrêt scandaleux » et pour Maître Muriel OuaknineMelki « les conséquences, sur le plan de la jurisprudence sont catastrophiques. L’accusé ne pourra pas être maintenu en hôpital psychiatrique car on n’a pas le droit de garder une personne qui n’est pas malade (…). Sarah Halimi a œuvré toute sa vie pour les autres, en tant que médecin et directrice de crèche. Elle a été assassinée dans d’atroces souffrances et elle est aujourd’hui privée d’un procès auquel elle avait droit (…). L’affaire de l’antisémitisme concerne tous les français et pas seulement les Juifs. » (voir également la réaction de Me Gilles William Goldnadel)

Isabelle Azriel (haguesher)

La FJN apporte tout son soutien à Sammy Ghozlan

La FJN remercie le BNVCA et son Président Sammy Ghozlan pour avoir dénoncé la caricature de la députée Danièle Obono, dépeinte en esclave.
Cette affaire a indigné la classe politique, intellectuelle et médiatique.
S’il y a en France quelqu’un qui connait ce qu’est le racisme, c’est le BNVCA. Pour le president du BNVCA, bien qu’ayant combattu les positions de Madame Obono : « A travers ce dessin, non seulement, il y a racisme mais il y a aussi et surtout la volonté manifeste d’humilier une élue noire de la République. »
La FJN demande à tous les Français et particulièrement à la communauté
juive de se désolidariser. Notre soutien doit lui être total comme l’est son engagement.
Signalons que le BNVCA a des années durant, lutter contre le racisme dont
souffraient les Juifs Noirs de France.

« Sale j…! Tu vas bientôt crever toi et toute ta race… », une enseignante menacée de mort dépose plainte

Deux plaintes ont été déposées dans deux affaires distinctes concernant des profs après des messages postés sur les réseaux sociaux.

« Sale j...! Tu vas bientôt crever toi et toute ta race… », une enseignante menacée de mort dépose plainte

Une enseignante régulièrement visée sur le réseau social Twitter a subi des menaces et injures à caractère antisémite il y a quelques jours. « Sale juive ! Tu vas bientôt crever toi et toute ta race. Tu es maudite. Jurassic Parc, c’est pour bientôt ! » a déclaré une internaute à son encontre, toujours sur Twitter. D’après nos informations, l’internaute à l’origine du message serait également professeure. Elle enseignerait le français à Boulogne-sur-Mer. Choquée par la teneur de ces propos, l’enseignante visée a déposé plainte pour « menace de délit contre les personnes avec ordre de remplir une condition commise en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion. »

Et elle n’est pas la seule puisqu’un enseignant calaisien, professeur au collège, harcelé depuis des mois, a également été attaqué dans un autre contexte. Comme Nord Littoral l’a révélé le 5 août, il a été victime d’une allusion sexuelle sur son travail suite à un passage à la télévision. ⤵⤵⤵

LIRE AUSSI Harcèlement entre profs sur Twitter: deux plaintes déposées dont une à Calais

Le prof en question a décidé de ne pas laisser passer cette fois-ci. « A chaque fois, ils démontrent un peu plus leur harcèlement », estime-t-il. pour « diffamation envers un particulier par la parole, l’écrit, ou l’image ou par un moyen de communication par voie électronique. »

Par Nord Littoral | Publié le 06/08/2020

LE BNVCA A BESOIN DE VOUS
THE BNVCA NEEDS YOU

Quand l’église catholique dit non à l’antisionisme

Il y a 15 ans, à Buenos-Aires (Argentine), une déclaration officielle conjointe de l’Eglise catholique-romaine et du Comité juif international pour le dialogue interreligieux, fait franchir une étape nouvelle à la lutte contre l’antisémitisme.

Totalement occultée par les médias occidentaux, cette clarification a apporté une perspective constructive aux relations controversées entre Eglise catholique et Peuple juif. Alors même que monte en puissance l’antisémitisme musulman associé au boycott d’Israël par des organisations tiers-mondistes et gauchistes…

Les protagonistes de ce symposium judéo-catholique étaient d’une part la Commission pontificale pour les Relations avec le Judaïsme, avec le Cardinal Walter Kasper à l’époque délégué du Pape Jean Paul II, et d’autre part le Comité juif international pour le Dialogue interreligieux, sous la Présidence du Congrès Juif Mondial.

Cinquante trois personnalités catholiques et juives provenant de 26 pays ont donc travaillé ensemble à partir de dossiers d’actualité, avec le souci de définir une position claire et des objectifs communs dans la relation des chrétiens avec le monde juif.

De ces échanges interconfessionnels représentatifs est ressortie une déclaration finale rejetant explicitement toute forme directe ou indirecte d’antisémitisme, y compris – et cela n’est pas anodin au regard des slogans médiatisés – l’antisionisme, qui banalise insidieusement la haine envers les Juifs en diabolisant Israël.

(Contrairement aux critiques émises par certains milieux, cette posture réaliste n’interdit aucunement toute critique du gouvernement israélien et de sa politique, à condition de garder la même mesure que celle employée envers les autres états, ce qui est rarement le cas).

LE BNVCA A BESOIN DE VOUS
THE BNVCA NEEDS YOU

Ce qui était rejeté à Buenos Aires par les autorités catholiques et juives, c’est la mise en cause systématique de la légitimité reconnue à l’Etat hébreu par l’ONU en 1948, ainsi que la présentation partiale des événements du conflit palestino-israélien, caractéristique de certaines mouvances idéologiques, laïques ou chrétiennes, complaisamment relayées par les médias.

Pour les organisateurs de ce Forum, dénoncer l’antisionisme comme une variante de l’antisémitisme a constitué véritablement un moment historique : « L’Eglise catholique reconnaît dans l’antisionisme une agression non seulement contre les Juifs, mais contre le Peuple juif en tant que tel ».

Mais le symposium de Buenos-Aires manifeste aussi la volonté commune d’une coopération caritative et humanitaire entre juifs et catholiques au service de populations dans le besoin. Le Père Patrick Desbois, du Comité épiscopal français précise alors : « Nous sommes passés d’un dialogue à une véritable coopération sociale, basée sur l’héritage commun du Mont Sinaï ».

Il est vrai qu’un centre social de secours aux déshérités de Buenos Aires fonctionnait déjà, géré conjointement par Caritas et une Organisation juive. D’autres expériences identiques existent également dans d’autres pays.

PUBLIÉ PAR ABBÉ ALAIN ARBEZ LE 6 AOÛT 2020

Source :
https://www.dreuz.info/2020/08/06/quand-leglise-catholique-dit-non-a-lantisionisme-2/



			

Le BNVCA accueille avec satisfaction mais non sans étonnement la décision des juges chargés de l’enquête sur le meurtre de Mireille Knoll et qui ordonnent un procès aux Assises pour meurtre à caractère antisémite de Mireille Knoll, âgée de 85 ans.

Les deux suspects Yacine Mihoub et Alex Carribacus seront jugés par la Cour d’Assises du chef de meurtre commis sur personne vulnérable et commis en raison de la religion de la victime.

Nous rappelons que le 23 mars 2018 le BNVCA est alerté par un entrefilet du quotidien « le Parisien » dans la rubrique des faits divers qui rapporte le meurtre d’une dame de 85 ans dans son appartement du 11ème de Paris.

La victime a été poignardée, et son corps brûlé partiellement, deux suspects interpellés dont un voisin.

S’agissant de l’arrondissement où Ilan Halimi a été ravi par le Gang des Barbares, et le même arrondissement Parisien où Sarah Halimi a été torturée aussi dans son domicile et assassinée par son voisin, nous avons engagé nos propres investigations. Alors que le scellé posé sur la porte de l’appartement de la victime indiquait simplement : « Mme Knoll Mort involontaire », comme celui commis sur Sarah Halimi, nous avons voulu en savoir plus, et c’est ainsi qu’un informateur nous a annoncé que Mme Knoll était de confession juive, rescapée des camps de la mort, et son tueur un homme de confession musulmane son voisin.

Nous en avons immédiatement conclu à un assassinat antisémite et communiqué en ce sens dès le 24 mars, pour alerter l’opinion.

Il faut reconnaître que cette décision des juges que nous félicitons, nous soulage, notamment après le fiasco de l’affaire Sarah Halimi qui ne bénéficiera elle pas de la Justice qu’elle méritait et que les juifs de France attendaient, où même les associations de lutte contre le racisme et l’antisémitisme ont été exclues.

Le BNVCA s’est constitué partie civile dans ce dossier de Mireille Knoll. Il est représenté par Maître Charles BACCOUCHE et maître Gilles William GOLDNADEL qui assisteront à toutes les Audiences des Assises, jusqu’à condamnation des auteurs antisémites que nous espérons très sévères, exemplaires et dissuasives. 

À CHARTRES, DIEUDONNÉ JUGÉ POUR DES PROPOS RACISTES ET ANTISÉMITES.

Jeanne Bulant avec AFP Le 22/06/2020 à 22:41

Dieudonné en février 2015 (Photo d'illustration).
Dieudonné en février 2015 (Photo d’illustration). – Miguel Medina

Le procès du polémiste Dieudonné, jugé pour des propos antisémites tenus lors d’un spectacle en 2017, a débuté ce lundi à Chartres.

L’humoriste controversé Dieudonné M’bala M’bala a été jugé lundi en correctionnelle pour des propos racistes et antisémites qu’il aurait tenus en juin 2017, dans le cadre de son spectacle du “bal des quenelles”, à son domicile de Saint-Lubin-de-la-Haye en Eure-et-Loir.

Le jugement a été mis en délibéré au 10 septembre. Le 1er septembre 2017, il aurait notamment évoqué “le bal des pyjamas de Cracovie”, en référence à la tenue portée par les déportés juifs du camp d’extermination d’Auschwitz, en Pologne, durant la Seconde Guerre mondiale.

Une procédure jugée “inopportune” par son avocate

Présent en début d’audience, le polémiste a quitté le palais de justice vers 15h30, une heure après son arrivée : “J’aurais volontiers parlé avec le juge mais j’ai une émission quotidienne que j’anime à 19 heures !”, a t-il déclaré à la presse sur le parvis du tribunal.

“Je trouve insultant, voire obscène, de venir déranger un tribunal pour parler de sketches. Là, il s’agit d’un personnage (ndlr, de plombier) à qui on voudrait faire dire des choses. Il aurait fallu convoquer le personnage”, a ajouté Dieudonné avant de quitter le tribunal.

Pour son avocate Maître Isabelle Coutant-Peyre, cette procédure était “inopportune” car “‘Le Bal des Quenelles’ ne se déroule pas dans un lieu public mais dans un lieu privé. Et, il n’est pas établi, selon elle, “par un constat ou même un enregistrement que l’expression poursuivie aurait été prononcée par Dieudonné M’bala M’bala le 17 juin 2017 à Saint-Lubin-de-la-Haye”.

Des propos “scandaleux et inadmissibles”

“C’est un journaliste de l’hebdomadaire ‘Les Inrockuptibles‘ qui l’affirme. Alors que les enquêteurs ont utilisé un enregistrement vidéo qui a été capté à Nyon (Suisse) le 2 juin 2017. Personne n’a attaqué cet enregistrement”, a argumenté l’avocate.

Elle précise que “l’auteur de l’expression ‘Gang des pyjamas de Cracovie’, visée par le parquet sur dénonciation de l’association du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme et l’association Ben Gourion, a été inventée par Germain Gaiffe-Cohen, dont la grand-mère a été déportée à Auschwitz et où elle est morte”. “L’idée de Germain Gaiffe-Cohen est de dénoncer les associations qui ne défendent en fait pas les intérêts des Juifs”, a-t-elle ajouté, plaidant la relaxe.

Des arguments qui n’ont pas convaincu le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin, qui a qualifié ces propos de “scandaleux et inadmissibles”. “Monsieur Dieudonné M’bala M’bala ne fait pas rire grand monde depuis bien longtemps, a-t-il ajouté. Le procureur a requis 10.000 euros d’amende. Dieudonné encourt une peine maximale d’un an de prison et 45.000 euros d’amende.

Jeanne Bulant avec AFP Journaliste BFMTV

Source:
https://www.bfmtv.com/police-justice/a-chartres-dieudonne-juge-pour-des-propos-racistes-et-antisemites_AD-202006220258.html

Koide9enisrael: Aristides de Sousa Mendes, juste aux yeux de Dieu et des hommes.

Aristides de Sousa Mendes, juste aux yeux de Dieu et des hommes.

Diplomate portugais en poste à Bordeaux en 1940, Aristides de Sousa Mendes a délivré en quelques semaines, et contre les ordres de son gouvernement, plusieurs milliers de visas aux personnes menacées souhaitant fuir la France. « Un exemple de cohérence avec une conscience droite et illuminée par la Parole de Dieu », a estimé il y a quelques jours le pape François…….Portrait…….

Son nom ne vous dira probablement rien. Pourtant, près de 34.000 personnes lui doivent la vie. 
Aristides de Sousa Mendes est consul général du Portugal à Bordeaux lorsque la Deuxième guerre mondiale éclate en 1939. Rapidement, le gouvernement de Salazar ordonne aux différents consuls de refuser l’octroi de visas aux « étrangers de nationalité indéfinie, contestée ou en litiges, aux apatrides, aux Juifs expulsés de leurs pays d’origine ou du pays dont ils sont ressortissants ». Catholique pratiquant, Aristides de Sousa Mendes juge ces directives inhumaines et contraires à sa morale.

Dès la fin de 1939, il décide de désobéir et fournit quelques visas dont un au rabbin polonais Jacob Kruger, réfugié à Bordeaux avec toute sa famille. L’avenir s’assombrissant au fil des semaines, il décide d’en donner à tous les réfugiés. « Désormais, je donnerai des visas à tout le monde, il n’y a plus de nationalité, de race, de religion« , déclare-t-il le 16 juin 1940. 
« Aidé de deux de ses enfants et neveux, ainsi que du rabbin Kruger, il tamponne les passeports à tour de bras, signe des visas sur formulaires, puis sur des feuilles blanches et tout morceau de papier disponible », rapporte l’association des Anonymes, Justes et persécutés durant la période nazie (AJPN).
« S’il me faut désobéir, je préfère que ce soit à un ordre des hommes qu’à un ordre de Dieu. »
Aux premiers avertissements de Lisbonne, il aurait déclaré : « S’il me faut désobéir, je préfère que ce soit à un ordre des hommes qu’à un ordre de Dieu », souligne encore l’association. 
Au total, il a ainsi délivré près de 34.000 visas, dont 10.000 à des juifs mais aussi à l’impératrice Zita de Bourbon-Parme et ses enfants, au général Leclerc, Salvador Dalí et son épouse, Otto de Habsbourg, Édouard, Henri et Robert de Rothschild…

Lui reprochant « d’avoir mis ses impératifs de conscience au-delà de ses obligations de fonctionnaire », Salazar missionne à Bordeaux deux personnes pour le ramener à Lisbonne. 
Sur le chemin du retour, au poste de frontière d’Hendaye, il voit des réfugiés bloqués auxquels il avait donné des visas à Bordeaux. 
Aristides de Sousa Mendes demande alors aux réfugiés de le suivre et ordonne au chauffeur de sa voiture de rouler doucement et d’emprunter des routes de campagne. Jouant de son autorité, il réussit à les faire entrer au Portugal.
De retour au Portugal le 8 juillet 1940, il est traduit devant le Conseil de discipline à Lisbonne qui le prive de son emploi, lui interdit la profession d’avocat (sa formation, ndlr) et diminue de moitié son traitement. Il décède en 1954, dans une relative indifférence. 
Ce n’est qu’en 1966 qu’il il est fait « Juste parmi les nations » à titre posthume avant d’être réhabilité, en 1986, par le gouvernement portugais en 1986. Le citant en exemple lors de l’audience générale de ce mercredi 17 juin, journée de conscience au Portugal qui honore la mémoire du consul, le pape François a déclaré : 
« Que la liberté de conscience puisse toujours être respectée partout et que chaque chrétien puisse donner un exemple de cohérence avec une conscience droite et illuminée par la Parole de Dieu ».


http://koide9enisrael.blogspot.com/2020/06/aristides-de-sousa-mendes-juste-aux.html

Source Aleteia

Document inédit : “La pauvreté dans la communauté juive”, une enquête de Sasha Andreas – LPH INFO.

Shraga Blum

 par Shraga Blumjuin 22, 2020in A LA UNESOCIÉTÉ 2

*FILE* Poor people in Jerusalem eat in a soup kitchen where they receive free meals. Photo by Flash90 *** Local Caption *** ??? ????? ???? ??? ????? ???? ???? ???? ????597VUESPartager sur FacebookPartager sur Twitter

Le documentaire qui défait les préjugés sur les juifs et l’argent…

Article paru dans : https://www.lesinrocks.comDans son documentaire « Jews Got Money », Sasha Andreas déconstruit le préjugé selon lequel il n’existe pas de juif sans argent. Tourné à New York, nous découvrons le parcours de migrants juifs d’hier et d’aujourd’hui.

« Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourrons-nous pas? «  Ces vers du Marchand de Venise, de William Shakespeare (acte III, scène 1), écrits en 1596, pourraient résumer les enseignements de ce documentaire. Et le premier d’entre eux est que l’appartenance à la confession juive, sans même parler d’une communauté juive, ne préserve nullement de la misère ou des accidents de la vie.

Une réalité sociale 

Jews Got Money, réalisé en 2012 par Sasha Andreas, entend mettre la lumière sur un préjugé ayant la vie dure et répandu bien au-delà des cercles antisémites, jusque chez certains juifs eux-mêmes : les juifs auraient tous de l’argent et auraient tous réussi dans la société. Le film est consultable en ligne sur le site ReelHouse. À travers l’histoire de l’immigration juive à New York, le documentariste français montre, d’hier à aujourd’hui, à quel point cette assertion est fausse.Au cours des 40 minutes que dure le documentaire, nous faisons la connaissance de membres éminents de la communauté juive new-yorkaise : Malcolm Hoenlein, PDG de la Confédération des présidents des principales organisations juives américaines, William Rapfogel, PDG du Conseil métropolitain de New York pour la pauvreté juive. Tous deux œuvrent pour que des organisations sociales viennent en aide aux plus démunis, juifs mais pas seulement. Au-delà d’une conception néolibérale de la société et du statut des personnes en son sein, les deux hommes mettent l’accent sur l’existence d’une part importante (20%) des juifs qui à New York vivent sous le seuil de pauvreté et sur la faible conscience qu’en ont les membres plus aisés de la communauté.

À New York, comme ailleurs, 1 juif sur 5 vit dans la pauvreté

D’autres, moins connus mais œuvrant pour cette communauté racontent ces vies difficiles dont ils sont les ultimes témoins. C’est le cas d’Amy Koplow, directrice exécutive de l’association pour l’enterrement hébraïque gratuit (Hebrew Free Burial Association) et Shmuel Plafber, rabbin membre de l’association, officiant à toutes les cérémonies. Les juifs qui, au moment de leur mort, ne peuvent s’offrir même un cercueil, et n’ont pas de proches qui pourraient y remédier, ont vécu dans la marginalité, vis-à-vis de leur famille, de leurs voisins, souvent appartenant à d’autres communautés, et même des autres juifs. Les plus aisés n’ont pas nécessairement conscience de leur existence et eux-mêmes restent discrets sur leur situation, en partie tant ils ont intégré l’idée qu’être juif signifie aussi être riche.

À ces quatre personnalités, sur les interviews desquelles repose le documentaire, s’ajoutent des visages anonymes, apparaissant dans un cadre au format réduit, comme plus lointain, témoignant de leur vie, leur misère et aussi de l’aide qu’ils reçoivent. Les uns sont vieux et faibles, les autres ont tout perdu à la suite d’une catastrophe. Plusieurs parcours sont mis à nu à l’écran, et toujours la même histoire se répète, celui d’un drame, social, familial, économique, politique même (de la Shoah à la chute de l’URSS). Ce que ce documentaire, par ces témoignages de personnes ordinaires, réussit le mieux, c’est de mettre le spectateur au contact de personnes qui pourraient vivre sur le même pallier, arpenter les mêmes rues.

Des individus face aux accidents de la vie

En se concentrant sur des portraits et récits de juifs ayant vécu ou vivant dans la pauvreté, aujourd’hui et hier, ce documentaire fait progressivement passer leur confession au second plan, loin des préjugés et représentations d’une communauté uniforme et aisée. Derrière un titre tapageur, Sasha Andreas dévoile la banalité de la vie de tous les jours des classes moyennes et pauvres de nos sociétés. En somme, la religion ne change rien à l’argent.

Vidéos:

Source :
https://lphinfo.com/document-inedit-la-pauvrete-dans-la-communaute-juive-enquete-de-sasha-andreas/

Métropolitaines : des tags antisémites sur les affiches de David Kimelfeld à Lyon

La campagne avait été relativement épargnée jusqu’à présent à Lyon.

Mais ce mardi matin, le député LREM du Rhône, Thomas Rudigoz, a révélé que des tags antisémites avaient été découverts sur les affiches de David Kimelfeld, candidat à la présidence de la Métropole de Lyon. Sur une photo relayée sur le compte Twitter du parlementaire, on voit qu’une auréole et une étoile de David ont été rajoutées au candidat sur une affiche dans la circonscription Lyon-Centre, où il pose aux côtés d’Atlantide Merlat. Sur un autre cliché, ce sont des kippas qui ont été dessinées.

“Ces dégradations antisémites des affiches sont abjectes, elles rappellent des heures sombres de notre Histoire. Ces démons errent toujours dans l’esprit et la pensée de certains. Total soutien à mon ami David Kimelfeld”, écrit Thomas Rudigoz.

“”Je ne revendique jamais mon origine que dans un cas : en face d’un antisémite” – Marc Bloch‬”, s’est contenté de commenter David Kimelfeld.

Selon nos informations, une affiche taguée a également été retrouvée dans le 8e arrondissement de Lyon. Les autres se trouvaient sur la circonscription de David Kimelfeld.

Source:
https://www.lyonmag.com/article/108505/metropolitaines-des-tags-antisemites-sur-les-affiches-de-david-kimelfeld-a-lyon

L’immense Marche Contre Le Racisme Et l’Antisémitisme : marche pour Sarah Halimi du dimanche 5 Juillet à 14H30 Place de la République à Paris organisé par Le Groupe Pas Silencieux.

Chers amis (es),

Le BNVCA relaie l’information et compte sur votre présence : dimanche 5 Juillet à 14H30 Place de la République à Paris.

L’immense marche Pas silencieuse pour Sarah Halimi, contre le racisme et l’antisémitisme. Pour une justice qui donne l’exemple, qui donne confiance à tous ses citoyens.

Venez nombreux.

https://www.facebook.com/events/557421808237662/

Le BNVCA excédé par les facéties violemment Antisémites de Dieudonné dépose une nouvelle plainte contre ce délinquant récidiviste antijuif.

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme dénonce et condamne avec la plus grande vigueur la nouvelle vidéo violemment antijuive diffusée sur Internet par le Sieur M’Bala M’Bala alias Dieudonné en faisant référence à Jésus.

Il traite les juifs de marchands dans le but d’attirer les chrétiens à son délire antisémite.

Il accuse les juifs de détenir tous les pouvoirs.

Il répète le vieux poncif du juif et de l’argent.

Il termine en mimant Hitler et en prétendant que si ce dictateur a pris des dispositions contre les juifs c’est parce qu’il y avait certainement des raisons de part et d’autre. 

Nous ne supportons plus les facéties et les discours dangereux de cet individu qui incite impunément ses fans sinon toute la population à la haine du juif.

Nous demandons à la Justice de notre pays de mettre « un terme une fois pour toutes » aux nuisances de ce personnage, délinquant récidiviste plusieurs fois condamné, mais qui n’a jamais exécuté aucune des peines qui lui ont été infligées.

Le BNVCA a chargé son conseil Maître Charles Baccouche de déposer une nouvelle plainte et de réclamer l’effacement de cette nouvelle vidéo obscène et incendiaire.

Le BNVCA condamne l’attentat terroriste commis à Colombes contre des policiers par un pro palestinien.

Le BNVCA condamne avec force l’attentat terroriste commis à Colombes (92), contre des policiers français selon le mode opératoire des terroristes palestiniens.

 Les faits se sont déroulés le 27 avril 2020 vers 17 h 35 dans la ville de Colombes (Hauts de Seine). Un chauffeur au volant d’une BMW lance sa voiture sur des motards de la police et des policiers municipaux dans l’exercice de leurs fonctions. Deux motards sont gravement blessés et hospitalisés. L’auteur Youssef T né à Lunévile qui a immédiatement été interpellé, a reconnu avoir commis son acte volontairement après avoir visionné une vidéo sur la Palestine.

Il déclare avoir voulu mourir en « martyr ».    

Nous rappelons que Le BNVCA n’a eu de cesse d’alerter de l’influence néfaste du “palestinisme”‘ (publications, vidéos, manifestations etc ) sur des membres d’une partie de la population française intoxiqués de surcroît par des séries télévisées diffusées soit par les chaînes TV du “Bouquet arabe satellisé”, soit via les réseaux sociaux ou encore à travers les Fake news publiées par des sites pro palestiniens et activistes du Boycott. 

 Avec ce nouveau type d’attentat nous constatons que les actes terroristes qui visaient exclusivement les citoyens juifs atteignent aujourd’hui nos forces de l’ordre, symboles de la France et de l’autorité.

 Les modes opératoires des terroristes palestiniens (voiture bélier, hache, couteau, mitraillage etc.) ont inspiré les terroristes qui ont tué en France à Paris, Toulouse, Nice, Strasbourg etc.      

  Le BNVCA solidaire de la police, souhaite un prompt rétablissement aux policiers blessés et les assure de tout son soutien.  

  Le BNVCA demande que l’enquête vérifie l’origine le contenu des vidéos en cause, et qu’elle détermine leur rôle et l’influence qu’elles ont pu exercer sur le criminel.

 Nous demandons également que tout soit mis en œuvre pour mettre un terme aux Fake news palestiniennes et anti israéliennes qui pullulent toujours impunément sur la toile ou les réseaux sociaux et restent source de violences et de haine.

Le Président Sammy Ghozlan

LE BNVCA CONDAMNE LES TAGS RACISTES ET ANTISÉMITES DÉCOUVERTS SUR LES AFFICHES ÉLECTORALES DE CANDIDATS D’ORIGINES JUIVE OU NORD ET SUD AFRICAINE.

Le BNVCA condamne très vivement les tags antisémites et racistes découverts sur les affiches électorales de candidats d’origine juive, sud ou nord-africaine. 

Ces manifestations de haine sont scandaleuses et inadmissibles. Elles visent Agnès Buzyn, Francis Szpiner, Alexandre Saada, Hanna Sabbah, Rachida Dati, Aubin Nzouatoum ou encore Sonia Krimi.

 Ces insultes et croix gammées, ont souillé les affiches dans tout le pays, ce qui démontre que le fléau a atteint un grand nombre de mentalités françaises. 

Pour ce qui concerne les citoyens d’origine ou de confession juive nous tenons à prévenir tous les lâches antisémites et pétainistes, fascinés voire fanatisés par les séquelles du 3 ème Reich nazi, que leurs menaces, leurs injures, leurs slogans, les vieux poncifs ne les atteignent pas, ne les effraient plus, ne les touchent plus, ne les inquiètent plus. Comme la majorité des français juifs, le BNVCA est plutôt inquiet pour la société française et même la société européenne dans son ensemble, qui n’ont pas su soigner et détruire ce virus de la haine antijuive qui gangrène les démocraties, pourrit leur avenir, met en danger leur unité et risque de compromettre leurs libertés. 

Villepinte : Le candidat RN aux municipales relaye une vidéo antisémite sur les réseaux sociaux.

Le BNVCA indigné dépose plainte contre le candidat RN, tête de liste aux Municipales de Villepinte qui le 3 mars 2020 relaye une vidéo manifestement antisémite sur le réseau social russe Vkontakte. 

Grâce à son observatoire de l’antisémitisme en ligne, le BNVCA a été alerté à la fois par des internautes et par un article du « Parisien ». Cette vidéo baptisée « Corona virus pour Goy » défend la théorie antisémite et complotiste selon laquelle le Coronavirus a été mis au point par les juifs pour assurer leur suprématie dans le monde. Le parcours idéologique et politique d’Alain Mondino tête de liste aux municipales de Villepinte démontre et confirme les liens entre l’extrême gauche et l’extrême droite depuis longtemps dénoncés par le BNVCA.

En effet après être passé par la LCR et le NPA, Mondino a rejoint le RN. Bien que satisfait de la décision du RN de désavouer son représentant et lui retirer l’investiture à Villepinte le BNVCA exige des instances du RN l’exclusion de Mondino. Le BNVCA a demandé à son conseil Maître Charles Baccouche de déposer une plainte motivée auprès de la Procureure de la République de Bobigny. Le BNVCA saisit entre autres Monsieur Leclerc, Préfet de la Seine Saint Denis pour lui demander d’engager une procédure d’inéligibilité définitive de ce candidat antisémite.

Le BNVCA qui reçoit près de 5 à 6 plaintes par jour, exprime le pessimisme de nombreux compatriotes de confession juive. Qu’ils soient ou non pratiquants les citoyens juifs sont la cible de cette haine qui ne cesse d’augmenter, de même de ces actes hostiles qui se développent en dépit des discours éloquents des dirigeants de l’Etat ou des mesures engagées par les autorités pour tenter d’éradiquer ce fléau qui nous inquiète au plus haut point. 

Le BNVCA dépose plainte contre l’auteur du post Facebook antijuifs très menaçants.

. Le BNVCA a été alerté par de nombreux internautes sur la présence de messages anti juifs violents et dangereux postés sur le réseau Facebook.

 Le BNVCA a décidé de déposer plainte entre les mains du Procureur de la République contre l’auteur de ces messages manifestement antisémites injurieux et contenant des menaces de mort collective.

Les services d’investigations de notre organisation amie auront peut-être permis d’identifier l’auteur de ces insanités grâce à la plaque d’immatriculation de son autocar.  

Le BNVCA informe et saisit immédiatement le Ministre de l’Intérieur afin qu’il décide de dispositions urgentes et efficaces de nature à mettre en état de nuire cet antisémite par toutes les voies légales.

Le BNVCA demeure vigilant notamment grâce à sa hotline téléphonique, son site https://www.bnvca.org/ ainsi qu’à son observatoire en ligne de lutte contre l’antisémitisme et l’antisionisme.      

Faire un don

Le BNVCA accueille avec satisfaction la décision du Tribunal de Paris qui délibérant le 27/11/2019 condamne encore une fois Dieudonné à 9000 euros d’amende qu’il doit payer sous peine d’emprisonnement.

 Le B N V C A, qui poursuit sans répit sa lutte contre l’antisémitisme forcené de Dieudonné M’Bala M’Bala, approuve avec satisfaction de la condamnation infligée par la 17ème Chambre Correctionnelle à ce multirécidiviste, à une forte amende de 9 000 €, en délibéré du 27 novembre 2019 pour avoir diffusé une chanson ignoble sur le thème “C’est mon Shoaaaa” le 22 juin 2017.

Le B N V C A est à l’initiative de la plainte déposée par son conseil Maitre Charles Baccouche le 13/07/2017 contre cet individu qui se complait à ironiser sur la Shoah, le plus grand génocide de tous les temps commis contre l’humanité.

Le BNVCA était représenté à l’audience du 27 novembre 2019 par son avocat Maitre Charles Baccouche qui a réclamé une sanction forte et dissuasive, voire à une peine de prison.

Le jugement prévoit effectivement que si le prétendu humoriste qui ne fait plus rire personne depuis longtemps, ne s’acquitte de l’amende qui lui est infligée, pourrait enfin voir sa peine transformée en emprisonnement. 

 Le BNVCA insiste sur le mépris constant exprimé par cet individu à l’égard de ses Juges et à l’égard des victimes des nazis qui ont organisé et réalisé ce massacre industriel des juifs dans des conditions atroces et dans tous les pays d’Europe.

Nous considérons qu’il est temps de mettre l’influence néfaste de Dieudonné hors d’état de nuire et le contraindre légalement et par toute les voies de justice, à payer toutes les amendes auxquelles il a été condamné.

Le Président

Sammy GHOZLAN 

Appel à Don

Chers amis (es),

Toute l’Equipe du BNVCA vous présente ses meilleurs vœux, que cette nouvelle année 5781 apporte santé bonheur joie et paix à toute la communauté.

Comme vous le constatez malheureusement tous les jours, une vague d’antisémitisme sans précédent depuis la fin de la seconde guerre mondiale ne cesse de sévir en Europe et particulièrement en France.

Nos besoins depuis septembre 2019 ont plus que doublé.

Le BNVCA ne peut œuvrer à aider les membres de la communauté juive qui subissent des actes antisémites et les accompagner tant sur le plan juridique que pour toute autre démarche (sans aucun frais à leur charge), que grâce à la grande générosité que vous manifestez à chaque fois que nous vous sollicitons.

Pour information le BNVCA ne bénéficie d’aucune subvention d’organisme de tutelle, régionale ou nationale.

Les dons collectés permettent au BNVCA de mener des actions essentielles, en matière du droit des personnes et tout particulièrement de les épauler, moralement et juridiquement tout au long des diverses procédures. Tous les frais générés par ces longues et difficiles démarches sont entièrement à la charge du BNVCA.

En vous remerciant de tout cœur de la part des permanents ainsi que des bénévoles.  

Le Président Sammy GHOZLAN

Veuillez adresser vos dons à : BNVCA  64, Rue Laugier 75017 Paris

Vous pouvez également faire un don en ligne  https://www.bnvca.org/faire-un-don/

Un reçu Cerfa vous sera adressé par retour.